En partant à Marseille, voir l’excellent spectacle de Julien Lestel, rencontrer des auditeurs et lecteurs à la Fnac et embrasser mes trois tantes chéries, j’ai emporté le livre de Yann Queffélec Le piano de ma mère que j’ai dévoré dans l’avion. En rentrant à Paris, j’ai appris par une amie que l’auteur et son éditeur (L’Archipel) étaient à couteaux tirés. Ce dernier aurait lancé l’impression des épreuves non totalement corrigées sans l’aval du premier. Lire l’article en entier
Tags : Yann Queffélec
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